Dans le monde cossu et polissé d’Agathe, on ne parle pas de sexe, on n’évoque pas la sexualité. Jusqu’à ses 17 ans, Agathe n’avait pas rencontré de garçon et savait à peine où était son clitoris. Et elle a rencontré Alberto au cours de son séjour Erasmus de première année. Depuis, cette fille de a éclos, s’est épanouie. C’est devenu la femme soumise qu’elle est aujourd’hui. Grassouillette, charnue, de la chair dodue au niveau de la poitrine et des seins, générosité humaine du corps, elle adore offrir son intimité et sa vertu aux séances de maitres SM. En quelques nudes, on peut résumer le mood d’Agathe. Se faire attacher, subir les contraintes de cordes de son maitre shibari et ressentir le frisson de la dépossession de soi. La petite bourgeoise adore se faire chienne, les poignets attachés dans le dos afin que son amant profite de chaque centimètre de sa chair.
Jeux pervers pendant ses plans cul où elle s’abandonne
Agathe reste branchée soumission, SM soft mais ne sombre jamais dans l’extrême. Les séances d’humiliation, d’électro-stimulation, très peu pour elle. C’est dans la cérébralité que notre brune pulpeuse s’ébroue. Les rapports de domination subtil, les attentes interminables de son plan cul qui la laisse attendre de longues minutes, ligotée sur le lit.
Et une fois qu’il commence son manège, il inspecte et ausculte les orifices d’Agathe. La salope, accroupie sur le lit, cul offert, se laisse mettre des doigts dans le cul sans pouvoir rétorquer. Une ceinture en cuir autour du cou, comme une chienne qui a retrouvé son collier, elle mime les demandes de sperme en se mettant à genoux, la bouche ouverte. Pervesité et perversion réunies à l’hôtel pendant une ou deux heures où elle sort de sa classe dominante.